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Rendu libre du régime de la condamnation

par | Mis à jour le 23 May, 2022 | Publié le 16 Aug, 2021 | Témoignages

Chers lecteurs et lectrices, veuillez prendre en compte que tous nos documents sont « sans aucune accusation ».

En effet nous croyons qu’au commencement l’homme n’était pas pécheur mais qu’il l’est devenu par un autre, par le serpent.

N’ayant jamais cherché à être pécheurs, nous ne nous considérerons pas en tant que pécheurs volontaires, bien que le péché soit entré en nous.

Témoignage de Isabelle

Rendu libre du régime de la condamnation

Bonjour,

J’aurais tellement à dire sur le fait que ma vie a complètement changé, depuis que Jésus s’est fait connaître à moi, que je ne sais pas par où commencer.

C’est simple, avant j’étais prisonnière, enfermée dans des concepts, donc dans une vision fausse de la Vie de Dieu.

Mon « après », c’est que Jésus m’a rendue libre, réellement libre, libre de tout ce qui me retenait prisonnière.

Il m’a montré, Lui, La Vérité ; et par rapport à elle, tous les mensonges par lesquels je vivais et qui me montraient un dieu qui donne, uniquement si on est à la hauteur. Oui tous ces mensonges qui me montraient un dieu exigent et dur.

Mais heureusement entre les deux il y a l’œuvre de Dieu, qui continue encore et encore, chaque jour.

——

Avant je croyais que c’était moi qui pouvait « faire », de sorte que j’aille bien, que je sois “ bien “ pour Dieu, que je fasse tout pour correspondre à ce que Dieu voulait.

Il y avait juste un problème, c’est que je ne connaissais, ni Dieu, ni Sa justice, ni Sa volonté.

L’idée « d’être bien selon Dieu » ne venait pas de moi, mais de ce que j’avais entendu des assemblées évangéliques avec leurs principes de vie que j’avais entendu « des hommes », mais que j’ai appris en lisant les Ecritures.

Alors en voyant dans les Ecritures comment Jésus parle et agit, Il montre ce qui est important. J’ai donc constaté que tout ce que j’avais entendu n’était pas le message de Dieu.

Le message que j’avais entendu ne me parlait que de mes péchés et de ce que j’étais ; de « ce que je devais faire pour plaire à Dieu » ; et c’est pour cela que, durant des années, je me suis forcée à faire tout ce qu’il fallait pour plaire à Dieu, pour « être bien » selon Dieu, car j’avais entendu dans ces messages que plus j’étais proche de la perfection, plus cela aurait un impact sur une meilleure place auprès de Dieu, après ma mort.

C’est fou ! Et cela montre bien que j’étais loin de la vérité, puisque cela s’est passé du temps de Jésus lorsqu’Il était avec ses disciples :

24 Il s’éleva aussi parmi les apôtres une contestation : Lequel d’entre eux devait être estimé le plus grand ?

25 Jésus leur dit : Les rois des nations les maîtrisent, et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs.

26 Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert. (Luc 22)

Les écritures montrent bien que l’idée d’être le meilleur, le plus fort… ne vient pas de Dieu, mais des hommes.

Dans plusieurs passages, Dieu ne choisit pas les hommes les plus forts, les meilleurs, mais au contraire les plus petits, les plus faibles, ceux qui ne placent pas leurs espoirs en eux, mais ceux qui croient en Un plus grand qu’eux ; ceux qui placent leur foi en Un Autre, en Christ, en Celui par qui tout est possible.

——

Et cela n’est qu’un exemple parmi tant d’autres idées erronées que j’avais pour « être  bien » selon Dieu.

On m’a appris que si cela n’allait pas, je devais prier, que je devais aussi prier pour remercier Dieu, que je devais prier pour avoir la bénédiction de Dieu…

Je n’avais rien contre le fait de prier, même si je ne comprenais pas ce qu’était la prière, mais c’était l’obligation de prier qui me bloquait et qui faisait que cela me provoquait une angoisse terrible dans le fait que si je n’avais rien à prier, alors je n’étais pas normale aux yeux de Dieu et des autres.

Dans l’obligation de prier, il n’y a rien de naturel. Alors que le naturel, c’est ce que Dieu a mis dans l’homme et qui fait que l’homme agit naturellement avec les principes que Dieu a mis en lui.

C’est la Vie ; et la vie ne se cherche pas, elle se vit, point.

Ça aussi, cela fait partie des mensonges qui étaient en moi.

Je cherchais à vivre la Vie de Dieu, jusqu’au jour où la Vie, Jésus, s’est présenté à moi, et là tout a changé. Alors je n’ai plus cherché à vivre, parce que je vivais ce qui était déjà en moi et qui vient de Dieu.

———

Quand j’étais jeune, je vivais naturellement, je vivais simplement ; puis est venu le message des assemblées évangéliques, un message « tourné vers l’homme », qui dit que l’homme est un pécheur et qui doit faire tout son possible, tout ce qu’il faut, pour accéder à une vie sainte et parfaite ; que l’homme doit faire tout ce qu’il faut pour plaire à Dieu.

Vers l’âge de 10 ans environ, j’ai entendu un autre message, qui me parlait d’un Père qui avait créé une famille ; un message qui ne m’accusait pas mais qui me montrait le cœur d’un Père, comment Lui voyait toutes choses ; ce message prenait son commencement -en Dieu-, avant même la fondation des choses visibles. Ce message disait que tout venait de Dieu.

J’ai grandi avec ces deux messages, ne comprenant pas à quel point le premier message était entré en moi, sans que je ne le veuille.

En effet, n’ayant pas mis les pieds dans une assemblée évangélique depuis mes 10 ans environs (j’y allais avec mes parents ; et puis j’étais jeune), je ne comprenais pas comment je pouvais être si mal avec une « bonne nouvelle » puisque le mot “évangile“ veut dire bonne nouvelle.

Puis, un jour, je suis partie de chez mes parents avec dans l’idée de vivre cette vie que je voyais chez d’autres, une vie sans Dieu, pour voir ce que c’était ; je ne m’étalerai pas là-dessus. Tout ce que je peux dire, c’est qu’aujourd’hui je suis contente d’avoir vécu ce que j’ai vécu, car je sais ce qu’est la vie sans Dieu et ça m’a vaccinée. Cette vie ne me plaisait pas, je n’y étais pas à ma place, je n’ai trouvé dans cette vie que des mauvais principes de vie, le mensonge, l’hypocrisie, la médisance etc.

Jusque là j’avais entendu deux messages, mais je ne connaissais pas Dieu personnellement ; je ne le cherchais pas, mais j’avais entendu la vérité ; je savais qui était Dieu, ce qu’Il a fait et que tout vient de Lui, du créateur de toutes choses, et cette vie de vérité me plaisait.

Puis un jour, où je vivais de plus en plus mal, Jésus est venu vers moi. Ce n’était pas la première fois, mais jusque là j’écoutais plus ma raison que ma foi, et ce jour là, je ne serais pas dire ce qui a changé, mais je l’ai écouté, Lui. Et je l’ai suivi, LuiJésus.

À partir de là a commencé une vie de délivrance, une vie où, à chaque fois qu’avec d’autres frères et sœurs qui cherchaient aussi Grâce et Vérité, nous lisions dans les écritures ce que Jésus a fait, comment Il agit envers tous. Les principes et la vie de Dieu se présentaient alors, et ce qui était en moi de faux disparaissait par la lumière de la vérité qui se présentait à moi.

Oui, le mensonge qui était en moi disparaissait, car étant mis en lumière en tant que mensonge.

En effet, quand la lumière vient sur de l’ombre, alors l’ombre disparait pour ne laisser à la place que la lumière. C’est l’œuvre de Dieu  en tous ceux qui croient en Lui, car c’est cela l’évangile, la bonne nouvelle de Dieu, que quiconque croit en Un Autre, en Jésus-Christ, a la vie éternelle, car Christ est la Vie.

Durant toutes ces années, j’ai été délivrée de tout ce qui était entré en moi et qui ne venait pas de Dieu.

Durant toutes ces années, j’ai été délivrée d’un faux message, un message basé sur l’homme et non sur Dieu.

Avant, je partais sans cesse de moi, ce qui me rendait malade, car je ne voyais que mon péché qui était là, devant moi. Je vivais « selon mes péchés » : Si j’avais trop de péchés, alors je ne pouvais pas aller vers Dieu ; si je n’en avais pas trop, je pouvais aller vers Lui. En fait cela ne dépendait que de moi.

Jusqu’au jour où il m’a été montré que c’était encore un mensonge ; que mes péchés n’étaient plus sur moi puisque Jésus les a pris.

29 Le lendemain, il vit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde(Jean 1)

J’ai alors compris, ce jour là, que Jésus a ôté le péché et lorsque le péché est ôté, alors il n’y est plus.

—–

Avant, j’étais sans cesse accusée ; chaque fois que l’on me parlait je partais de moi, et je me sentais accusée, même lorsque l’on ne voulait que mon bien en me disant simplement la vérité.

Aujourd’hui, n’étant plus sous un message d’accusation, mais ayant été délivrée de l’obligation de « faire », je ne suis plus accusée, je peux enfin entendre toutes choses de façon neutre.

Aujourd’hui je suis délivrée de tout ce qui n’est pas de Dieu pour pouvoir vivre naturellement, naturellement, puisque Jésus ne force en rien mais « attire à Lui« .

Avant, c’était moi qui faisais tout pour être à la hauteur. Mais il m’a été montré que tout est de Lui, par Lui et pour Lui.

TOUT.

Il a tout fait parfaitement par Amour envers les Hommes.

12 Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d’avoir part à l’héritage des saints dans la lumière,

13 qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour, 14 en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés.

15 Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.

16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.

17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui. (Colossiens 1)

La volonté de Dieu, c’est que tous les Hommes Le connaisse réellement ; que tous les hommes vivent pour Lui, par Lui et de Lui.

3 Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. (Jean 17)

– La justice de Dieu, c’est d’avoir payé pour tous les hommes, afin que ceux-ci n’aient pas à faire une chose impossible : Payer pour leurs péchés.

– La justice de Dieu c’est d’avoir ôté le péché, ce qui est venu après (car Dieu a créé l’homme sans le péché) et qui, une fois ôté, permet que La volonté de Dieu se fasse.

– La justice de Dieu c’est de pouvoir, en Jésus-Christ, revenir avant le péché et de partir du commencement de Dieu, là où tout était naturel, pur.

Isabelle

Rendu libre du régime de la condamnation

par levangilededieu.fr | en version audio

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